« Il n'y a pas eu de réflexion sur la façon dont on surveille la sécurité des médicaments. On prend le problème à l'envers en cherchant si les cas signalés sont imputables au médicament en cause, au lieu de comparer les risques observés avec ce médicament et un médicament proche. »
Catherine Hill, épidémiologiste et membre du conseil scientifique de l'Agence du médicament à l'époque du Mediator in Les Echos du 23 septembre 2019.
Pollution de l’air : des modifications épigénétiques du placenta différentes selon le sexe du fœtus
Alzheimer : être homozygote APOE4, forme génétique de la maladie ou facteur de risque fort ?
Grève des cliniques, l’hôpital public débordé en juin ? Les syndicats de PH entre inquiétude et fatalisme
Risque cardiovasculaire : quand la colère échauffe le cœur