L'inspection générale des affaires sociales (IGAS) recommande d'intégrer les directives anticipées, renforcées par la loi Leonetti-Claeys du 2 février 2016, au futur dossier médical partagé (DMP), et de confier ainsi la gestion du registre national à la caisse nationale d'assurance-maladie (CNAMTS), de préférence à l'agence de biomédecine (« pour des motifs éthiques mais aussi d'absence de compétences spécifiques »). Le centre national des soins palliatifs et de la fin de vie devrait être chargé des missions de communication et de promotion du dispositif, via des messages élaborés avec professionnels, associations et usagers. Les médecins doivent avoir un rôle central dans la sensibilisation des patients et l'aide à la rédaction de ces DA, précise l'IGAS. Par ailleurs, le comité scientifique de la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) a publié un avis daté du 10 mars, explicitant article par article la nouvelle loi et exposant les principaux enjeux : la dignité, la collégialité, et surtout la formation initiale et continue.
Fin de vie
L'IGAS préconise l'intégration des directives anticipées au DMP
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Publié le 29/03/2016
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Source : Le Quotidien du médecin: 9483
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