Motif fréquent de consultation, « il ne faut pas s’inquiéter face à des cycles irréguliers dans les deux années qui suivent la ménarche », a souligné la Pr Christin-Maître (Paris). Il s’agit d’un phénomène fonctionnel, lié à l’immaturité du mécanisme de rétrocontrôle positif de l’estradiol sur la LH. « Le syndrome des ovaires polykystiques est l’étiologie dominante des troubles du cycle, mais le diagnostic est difficile chez l’adolescente et il est souvent porté en excès, ce qui est un facteur d’inquiétude », a souligné la Pr Christin-Maître.
Malgré leur irrégularité, il faut aussi noter que 80 % des cycles sont ovulatoires dès la première année après les premières règles et une contraception doit, le cas échéant, être discutée.
Irrégularités
Par
Publié le 29/01/2018
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du médecin: 9635
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature