Merci au Dr Raphaël Nogier de Lyon pour son histoire très intéressante et révélatrice du lapin en peluche (« le Quotidien » du 5 décembre).
J'ai eu moi-même une patiente, Martine R., atteinte d'une profonde dépression suite à un avortement, et qui ne pouvait s'empêcher de procéder chaque année, à la date anniversaire de son avortement, à un enterrement symbolique de son enfant en achetant un « babies » (ces petites poupées en plastique qui étaient très à la mode il y a quelques années), en le plaçant dans une grande boîte d'allumettes, et en l'enterrant dans son jardin.
Non, l'avortement n'est pas un acte anodin, le syndrome post-abortif existe, quoiqu'en disent ceux qui cherchent à le banaliser sémantiquement (en l'appelant IVG) et législativement.
L'attitude de notre gouvernement et de nos élus (députés et sénateurs), qui ont confirmé un délit d'opinion, d'expression, et d'information (!), et qui font tout pour empêcher les femmes d'être informées et de réfléchir à des solutions alternatives, est irresponsable.
Courrier des lecteurs
Le syndrome post-abortif existe
Publié le 12/12/2016
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Dr Jean Wolga, Grenoble (38)
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Source : Le Quotidien du médecin: 9542
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