Une première expertise psychiatrique de Maxime Brunerie, l'homme qui a tiré sur Jacques Chirac le 14 juillet 2002, a conclu à l'altération de ses facultés mentales. Une deuxième expertise a en revanche estimé qu'il était atteint au moment des faits d'un trouble ayant aboli le contrôle de ses actes. Pour trancher, la juge Marie-Odile Bertella Geffroy a ordonné une nouvelle expertise, confiée aux psychiatres Jean-Claude Archambault, France Prosper et Daniel Zagury. Selon les résultats, Brunerie sera jugé par une cour d'assises ou considéré comme irresponsable pénalement.
Troisième expertise psychiatrique pour Brunerie
Publié le 02/04/2003
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7308
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