« Le médecin doit être conscient d’emblée que l’alliance thérapeutique ne sera pas la même chez l’homme que chez la femme. Plus réticent à parler de son vécu, à aborder des questions psychologiques et souvent moins “patient”, l’homme s’investira plus difficilement dans les programmes de traitement non pharmacologiques plus longs ou qui impliquent des psychologues », explique le Pr Bouhassira. On sera plus prudent avant d’évoquer les aspects psychologiques et on ne leur proposera pas d’emblée une prise en charge non pharmacologique de longue haleine car ils préfèrent généralement les traitements médicamenteux.
Douleur
Une approche thérapeutique plus complexe
Publié le 13/05/2016
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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