Parmi les épisodes de vaginites mycosiques, entre 85 et 95 % sont dues au Candida albicans. Parmi les autres le C. glabrata affecte de 10 à 20 % des femmes (2). C. krusei, C. tropicalis et C. parapsilopsis sont plus rarement en cause.
La distinction clinique n'est pas possible mais le C. glabrata est plus résistant et souvent à l'origine de formes récurrentes. On ne sait pourquoi certaines femmes présentent au spéculum des grumeaux épars typiques de candidose et ne se plaignent d'aucun trouble.
De multiples travaux de biologie sont publiés chaque année et il n'entre pas dans les objectifs de cet article de les analyser, du fait surtout de leur complexité. On admet cependant que des transformations de l'écosystème vaginal sont nécessaires pour que la forme commensale devienne pathogène.
Le mycogramme ne fournit pas d'informations fiables prédisant les résultats cliniques d'une molécule par rapport aux autres.
CHAPITRE 2 : MICROBIOLOGIE
Publié le 21/09/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Recommandations
Le traitement non pharmacologique de la gonarthrose
Étude et pratique
Risque de diabète sous statine, quelle réalité ?
Cas clinique
La maladie de Ledderhose
Recommandations
Prévention et prise en charge des cancers chez les sujets VIH+