L’arrêté fixant le nombre d’internes autorisés à suivre une formation complémentaire pour l’année universitaire 2023-2024 est paru au Journal officiel ce 9 avril.
Une nouvelle fois cette année, le nombre de postes est en hausse pour la prochaine année universitaire. Ainsi, d’après l’arrêté, 2 575 sont ouverts aux étudiants du 3e cycle dont 821 au titre des options et 1 754 au titre des formations spécialisées transversales (FST) soit près d’une centaine de plus que l’année dernière (1 659).
Existant depuis 2019, les FST permettent aux internes pendant et à la fin de l’internat de suivre une formation complémentaire qui prolonge leur maquette d’un an et d’acquérir une compétence spécifique dans un champ précis.
En médecine générale, six sont étiquetées « d’intérêt ». Sont accessibles pour les internes de médecine générale : l’addictologie, douleur, la médecine du sport, la médecine scolaire, expertise médicale et préjudice corporel, et médecine palliative. Les IMG peuvent aussi théoriquement postuler pour les autres FST mais leur candidature doit être justifiée par un projet professionnel spécifique.
Pour l’année universitaire 2023-2024, pour les six FST d’intérêt pour la médecine générale, le nombre de postes ouverts est moindre que l’année dernière. Il y aura donc 504 places, contre 512 en 2022-2023. Dans le détail deux places supplémentaires sont ouvertes en médecine du sport (70 places) et une supplémentaire en expertise médicale et préjudice corporel (32 places), les quatre autres FST offrent moins de postes.
Retrouvez la répartition par subdivision des postes ouverts dans les six FST ci-dessous :
C’est quoi ta spé ? – Épisode 03
[VIDÉO] : « Pas de routine en génétique médicale ! » : Alice, interne en premier semestre, écarte les idées reçues
Littérature ou médecine ? Cette interne n’a plus besoin de choisir : « Je veux continuer à écrire ! »
Ecos tests : 288 étudiants en médecine concernés par la perte de leurs grilles d’évaluation en raison de bugs
C’est quoi ta spé ? – Épisode 02
[VIDÉO] « On nous imagine avec une mallette de seringues remplies de botox » : Gabriel, interne en chirurgie plastique, démonte les clichés