Dans les coulisses du « Quotidien »… Posez vos questions à la rédaction !

Les suggestions de nos lecteurs sont les bienvenues. Le mieux est d’adresser vos suggestions, informations ou courriers des lecteurs par un mail à l’adresse suivante : redaction@quotimed.com. Il est aussi possible de réagir à chaud à l’actualité sur notre site Internet en postant un commentaire sous un article.

L'année 2019 a été marquée par le premier avis scientifique de la HAS défavorable à la prise en charge de l'homéopathie, en l'absence d'efficacité avérée, et par la décision d'Agnès Buzyn d'un déremboursement complet d'ici à 2021. Cela a dicté notre couverture.

Toutefois, « le Quotidien du Médecin » a aussi largement relayé la riposte des acteurs et des défenseurs de l'homéopathie (livre blanc du collectif Safemed, campagne Monhomeomonchoix) ou encore les plaintes ordinales des médecins homéopathes contre les signataires de la tribune anti-homéopathie. Bien évidemment, nous suivrons aussi les recours des laboratoires contre la décision de déremboursement.

Désolé ! À ce jour, il est bien difficile de se passer de publicités… Mais nous faisons en sorte qu’elles soient le moins intrusives. Il y a occasionnellement des problèmes d’affichage de certains formats publicitaires avec certains navigateurs Internet. C’est rare, mais cela arrive. Dès que cela se présente, nous remontons l’information aux équipes techniques et commerciales qui en ont la charge afin qu’elles interviennent.

L'arrivée de notre nouveau site, au mois de juillet dernier, a aussi été à l'origine de quelques soucis (question de rodage...). Si vous rencontrez des problèmes, vous pouvez bien sûr nous alerter en nous envoyant un mail à redaction@quotimed.com. C’est dans notre intérêt d’assurer une bonne lisibilité de nos articles !

Le courrier des lecteurs du « Quotidien du Médecin » est ouvert par principe à toutes les opinions et aux médecins en priorité. Nous publions les textes en fonction de la pagination disponible. La rédaction ne refuse la publication qu’à des textes qui auraient un caractère diffamatoire, injurieux ou contenant tout propos qui tomberaient sous le coup de la loi.

Pour le reste, nous ne garantissons pas la parité entre opinions différentes. S’agissant de l’élargissement de l’AMP, nous avons publié les avis des anti comme des pour. Le fait est que les envois provenaient majoritairement de médecins hostiles à la « PMA pour toutes ». Concernant la légalisation de l’euthanasie, c’est plutôt l’inverse qui s’est produit ces dernières semaines : nous avons reçu et publié des textes plutôt militants en faveur d’une modification de la loi Claeys-Leonetti.

C'est vrai que la démographie de la pédiatrie libérale est en grande difficulté. S'agissant des sujets professionnels, nous avons souvent mentionné les pédiatres libéraux : revenus en berne, manque d'attractivité, effondrement démographique, effets de la convention, réforme du médecin traitant de l'enfant…

Pour les sujets médicaux, le statut libéral n'est pas toujours précisé. C'est l'expertise pédiatrique qui est mise en avant. Certaines études menées en libéral ont été traitées dans nos colonnes, comme celle sur la prise en charge de la fièvre par les antipyrétiques.

La chronique de Richard Liscia est une rubrique de point de vue sur l’actualité générale, politique et internationale. C'est une chronique éditorialisante. C’est normal qu’elle vous fasse réagir, elle est faite pour cela. Elle est à distinguer évidemment de l’actualité suivie dans le reste du journal.

Bien sûr qu'il faut s'abonner. Le financement du journal repose en partie sur le paiement des abonnements de nos lecteurs. Les médecins retraités bénéficient d’un rabais de 35 % sur le tarif classique. Profitez-en !

Il ne s'agit pas de défendre le salariat davantage qu'un autre mode d'exercice, mais plutôt de raconter une tendance significative depuis au moins 18 mois, à savoir les propositions de salariat, parfois très alléchantes des collectivités territoriales (centres de santé de Saône-et-Loire, initiatives en Corrèze ou dans la Creuse). Quand la région Centre-Val-de-Loire décide de salarier 150 généralistes, ce n'est pas rien !

Quant à la médecine libérale, nous y consacrons un nombre incalculable d'articles car elle est directement bousculée par toutes les réformes en cours du gouvernement (CPTS, transferts de tâches, assistants médicaux, etc.). Elle reste largement majoritaire en volume d'articles publiés.

Pourquoi pas ! Cela pourrait être le prochain thème d'une enquête lecteur. Merci de la suggestion.

Nous nous sommes employés à relayer sur le web et dans nos colonnes la colère du monde hospitalier. En revanche, notre rôle n'est pas de répondre à la place du gouvernement.

Le journal tente de répondre à toutes les attentes et notamment, bien sûr, à celles des médecins en activité. Notre souci est d’assurer le meilleur équilibre entre informations touchant les évolutions médicales et les réformes touchant l’environnement du médecin. Nous sommes désolés que vous ne vous y retrouviez pas pleinement. Certains confrères retraités se montrent néanmoins intéressés par les mutations en cours qui touchent leurs plus jeunes confrères.

Rappelons que les médecins retraités bénéficient d’un rabais de 35 % sur le tarif classique !

Private joke (dont on croit connaître l'origine). Pas faux, mais pas omniprésent non plus... ;)

Nous avons abordé à de nombreuses reprises la question de l'aluminium dans les vaccins. Nous avons fait état notamment de la position de l'ANSM concluant à une balance bénéfice risque favorable. La ministre de la Santé a refusé de retirer du marché les vaccins avec adjuvants aluminiques. Une décision que le Conseil d'Etat a soutenue, estimant qu'elle est justifiée au nom de « la protection de la santé publique ».

Nous sommes attachés à préserver un espace de libre expression sur notre site. Mais, en tant qu’éditeur, nous avons une responsabilité à l’égard de tous les contenus que nous publions.

Pour cette raison, tous les commentaires sont validés avant publication par les journalistes de la rédaction.

En dehors des heures de bureau, nous faisons appel à un prestataire externe spécialisé dans la modération en ligne. Seuls les commentaires illicites (injure, diffamation, incitation à la haine raciale…) ou hors sujet sont écartés.

Il y a une demi-douzaine de journalistes médecins (permanents ou collaborateurs) au sein du journal. Certains exercent toujours, d'autres se consacrent exclusivement au journalisme. On compte parmi eux des généralistes, cancérologues, rhumatologues, chirurgien, urgentiste...

Nous sommes toujours intéressés par les informations que nous signalent nos lecteurs. Un bon nombre de celles qui touchent aux relations médecins-caisses proviennent de ce canal.

Si vous avez un litige avec votre caisse primaire, n'hésitez pas à nous contacter ; cela pourrait donner lieu éventuellement à un article.

Il n’y a pas de raison que vos commentaires ne soient pas publiés s’ils répondent à nos critères de validation (pas de diffamation, pas d’injure, pas de hors sujet…). Si vous avez des problèmes récurrents, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse redaction@quotimed.com.

Chaque année, nous écrivons une série d'articles pour informer les médecins des derniers chiffres des assureurs en RCP (panorama de SHAM, rapport annuel de la MACSF/Sou médical, cartographie des risques médicaux du cabinet Branchet...). Mais il ne nous appartient pas de faire une campagne sur le sujet. Ce n'est pas le rôle de la rédaction. Si vous en lancez une, nous serions peut-être amenés à en parler dans nos colonnes !

Cette question est intéressante, mais ce n'est pas le rôle de la rédaction de répondre à des cas cliniques, en tant que journalistes.

Le journal tente d’accompagner au mieux ses lecteurs. La rédaction suit attentivement toutes les réformes en cours, qui –de l’assistant médical à la délégation de tâches en passant par la création de CPTS- sont en train de transformer le parcours de soins et le rôle du médecin traitant. Dans 5 ans, on s’oriente sans doute vers un médecin généraliste chef d’une équipe de soins pluridisciplinaire, sans doute moins prescripteur de médicaments et davantage d’activité physique ou de soins infirmiers. On peut penser aussi que la coexistence salariat-libéral sera plus équilibrée qu’aujourd’hui…

C’est fini pour aujourd’hui. Merci d’avoir échangé avec nous pendant près d’une heure. Nous espérons avoir répondu à vos attentes.

Rendez-vous l’année prochaine pour un nouveau Live chat. D’ici là, bonnes fêtes de fin d’année à tous !