Amateure de course et de grands espaces, l’écrivaine québécoise Annie Perreault a pourtant construit son premier roman, « Valencia Palace », comme un thriller intérieur. Dans « les Grands Espaces », quatre voix de femmes se font entendre comme venues des quatre points cardinaux et à différentes époques. Parmi elles, « celle qu’on ne voit pas », la voix de l’auteure, qui crée un lien entre les paysages et les personnages, la géographie et les personnes. Et l’on passe ainsi de l’étendue gelée du lac Baïkal aux braises de la passion amoureuse toute aussi incertaine. Un voyage littéraire d’une grande beauté, entre la « vie du dehors » et la fragilité des vies intérieures. (Héloïse d’Ormesson, 236 p., 20 €)
Géographie des paysages et des personnages
Publié le 07/04/2023
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Source : Le Quotidien du médecin
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