« Les menaces sur l’ambulatoire ne sont pas dans l’acte technique, mais dans ce qu’on ne voit pas à l’hôpital », a estimé le Pr René Amalberti, conseiller auprès de la Haute autorité de santé (HAS), lors de cette journée de vidéotransmission. En cas de problème trois jours après une opération de jour, 86 % des patients se tournent vers leur médecin traitant et non vers leur chirurgien. « C’est la raison pour laquelle les généralistes doivent être mis dans la boucle, avertit le Dr Amalberti. Vous, hospitaliers, devez les informer afin qu’il n’y ait pas de défaut d’interprétation dans le suivi du patient ». Une appréciation partagée par le
Dr Bernard Schmitt, représentant de la CNAM, pour qui la prise en charge à la sortie de l’hôpital « n’est pas encore optimale ».
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