Étude menée en France, où aujourd’hui les antidiabétiques oraux n’ont pas d’autorisation d’utilisation dans le diabète gestationnel ; 890 ont été randomisés pour glibenclamide (SU, moyenne 5,25 mg/j) ou insuline (analogue rapide x3/J). Les résultats s’avèrent favorables et identiques entre les deux stratégies : plus d’hypoglycémies sous SU (41 %) que sous insuline (9 %) mais autant d’hypoglycémies sévères et 18 % ont dû passer sous insuline, avec une amélioration du contrôle glycémique. Au total, ce résultat incite à envisager l’autorisation du glibenclamide pour traiter les DG.
Hélène Affres, et col. Glyburide therapy for gestational diabetes: Glycaemic control, maternal hypoglycaemia, and treatment failure, Diabetes & Metabolism, 2020, https://doi.org/10.1016/j.diabet.2020.11.002.
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