Certains critères sont à l’étude : la courbe d’apprentissage, la cicatrisation transmurale (en IRM et échographie) et son impact sur l’évolution de la maladie, ainsi que l’intérêt de l’échographie sur l’évaluation de l’activité de la RCH. « La variabilité inter-observateurs et la lecture centralisée intéressent aussi, précise le Pr Fumery, car l’échographie du tube digestif pourrait devenir un outil d’évaluation dans les essais. Nous espérons également que l’intelligence artificielle aidera à la détection des images pathologiques, l’acquisition et la diffusion de la technique. Les micro-échographes, dont les images sont télétransmises sur smartphone, ont confirmé leur performance ».
Des perspectives d’amélioration
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Publié le 18/03/2022
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Source : Le Quotidien du médecin
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