Si ce traitement, encore expérimental, pouvait servir à soulager ou à guérir les patients atteints de SSPT, il sera certainement important d'encadrer son usage.
« Éliminer les mauvais souvenirs n'est pas la même chose que d'éliminer une verrue ou un grain de beauté », note dans un communique le Dr Daniel Sokol, conférencier en Ethique Médicale à l'université de Londres. « Cela modifiera notre identité personnelle puisque notre être est lie a nos souvenirs. Cela pourrait peut-être être bénéfique dans certains cas, mais avant d'effacer les souvenirs, il nous faut réfléchir aux répercussions que cela aura sur les individus, la société et le sens de l'humanité. »
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