En attendant les résultats de la recherche, il est urgent d’aider les enfants dyspraxiques, souligne la chercheuse Caroline Huron, présidente de l’association Le cartable fantastique,dont un des ambassadeurs est le neuroscientifique Stanislas Dehaene. Cette association a pour objectif de fournir des ressources pour faciliter la scolarité d’élèves d’école primaire en situation de handicap et particulièrement d’enfants dyspraxiques. Elle est à l’origine de deux sites Internet.
Le cartable fantastique de Manon (lecartablefantastique.fr) rassemble l’ensemble des supports scolaires utilisés quotidiennement par une élève dyspraxique de CE1 puis de CE2, tandis que le cartable fantastique (cartablefantastique.fr) propose des ressources scolaires adaptées (exercices de grammaire en ligne, supports pour opérations, contes) et des outils informatiques qui permettent l’adaptation des supports (générateur d’exercices en ligne). L’association veut également permettre aux enfants dyspraxiques de lire les livres de leur choix.
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils