Certaines applications proposent au grand public des avis non sécurisés et non validés, par exemple sur la gravité d’un nævus : « Alors que l’assurance professionnelle couvre la pratique d’une télémédecine respectant les règles régies par le décret de 2010 (il faut bien le préciser dans la description de son activité), les sites Internet donnant des avis médicaux nécessitent une assurance complémentaire. Souvent ces avis ne rassurent pas les patients, et se terminent par une suggestion de consultation médicale », prévient la Pr Dompmartin (Caen).
Rappelons que l’activité de télémédecine doit être déclarée à l’ordre des médecins, et que des conventions sont signées entre professionnels et structures de soins.
Violences sexistes et sexuelles : la Pr Agnès Buzyn se paye l’Ordre pour avoir « trop souvent protégé » les harceleurs
La santé publique doit être la deuxième priorité du Parlement européen, selon un sondage
Pas d’écrans avant 3 ans, pas de téléphone avant 11 ans… : la commission d’experts propose un guide fondé sur la science
Violences sexistes et sexuelles
Comment s’enracinent les schémas de domination à l’hôpital