L’association nationale des étudiants sages-femmes (ANESF) s’inquiète des conditions dans lesquelles se déroule le cursus universitaire (cinq ans dont une année de PCEM 1) de cette filière et du bien-être des étudiants.
Selon une enquête (1), près de 30 % des étudiants sages-femmes « considèrent que leurs études sont responsables de leurs consommations d’anxiolytiques, d’hypnotiques et autres substances psychotropes », indique l’ANESF, unique association étudiante représentative de la profession.
Neuf étudiants sur dix avouent aussi rencontrer des difficultés lors de leur parcours universitaire, au point que 23 % des sondés reconnaissent avoir « voulu arrêter leur formation au cours de leur cursus ».
Au vu de ces chiffres, l’ANESF appelle à une plus grande « collaboration » avec l’ensemble des équipes pédagogiques des 35 écoles.
(1) étude menée auprès de 937 étudiants sages-femmes (sur 4 000) dans 20 des 35 écoles françaises.
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