Depuis trente ans sévit aux USA, puis chez nous, le « politiquement correct », en particulier chez les politiques.
Donald Trump a fait voler en éclats ce ton compassé : « Si tu as du pouvoir, il suffit de prendre une femme par la chatte pour la baiser » ou, énervé par les questions d’une journaliste de Fox News : « On pouvait voir le sang lui sortir des yeux ou de son… où que ce soit… » Les Mexicains sont des « violeurs », ou à propos des vaccins « stop aux injections de masse, les petits enfants ne sont pas des chevaux… »
Le plus stupéfiant est l’enthousiasme de la moitié des Américains qui redécouvrent des propos qu’on croyait disparus ou réservés aux réunions privées entre « male chauvinists »…
Les États-Unis nous ont habitués : ce qui se passe chez eux survient chez nous avec un décalage de quelques années.
Gageons que ce langage va bientôt traverser l’Atlantique, comme toujours. Chassez le naturel…
Global Burden of Diseases : l’allongement de l’espérance de vie au défi des maladies métaboliques
Le sémaglutide efficace à 4 ans chez les adultes en surpoids ou obèses
Cardiomyopathie hypertrophique obstructive : l’aficamten fait ses preuves
Pollution de l’air : des modifications épigénétiques du placenta différentes selon le sexe du fœtus