Selon les chiffres officiels établis avant la révolution, l’incidence annuelle du suicide se situait en moyenne autour de 1,8/100 000 habitants, contre 3,15/100 000 depuis. Une augmentation significative, mais qu’il conviendrait de relativiser en raison du tabou qui enveloppait la communication autour du suicide avant la révolution.
Ce tabou pourrait aussi expliquer les disparités régionales, qui pourraient en partie être dues à une sous-déclaration des cas.
(*) Chef de service, (**) Interne, (***) Service Pinel, hôpital Razi, Tunis, (***) Psychiatre privé, Nabeul
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