Des études anglosaxonnes ont démontré il y a quelques années que la délivrance régulière d’un conseil minimal autour du tabac par le médecin était suivi d’un arrêt du tabac chez 5 % des fumeurs dans l’année. Ce conseil minimal peut consister à simplement demander à chaque consultation si le patient fume toujours, s’il envisage un sevrage ou s’il a essayé de réduire sa consommation. Ce conseil doit éviter toute culpabilisation ou jugement de valeur pour ne pas altérer la qualité de la relation médecin-patient et laisser au patient l’initiative du moment du sevrage tabagique.
Délivrez un conseil minimal le plus souvent possible
Publié le 05/03/2010
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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