Quel que soit le diabète, il est impératif de programmer les grossesses pour minimiser les risques de malformation fœtale d’où l’intérêt d’une contraception très efficace mais sans qu’elle retentisse sur l’équilibre glycémique. La CEP augmente le risque vasculaire et nécessite parfois une augmentation des doses d’insuline. Quant aux progestatifs, ils diminuent la tolérance au glucose. Les éléments de décision sont bien sûr le souhait de la femme et le stade du diabète.
› En cas de diabète insulino-dépendant sans complication dégénérative, la préférence va au DIU cuivre ou hormonal mais les EP minidosés et les microprogestatifs sont possibles. Lorsqu’il existe des complications dégénératives, le DIU et la contraception progestative se partagent les contraceptions efficaces.
› Dans un diabète de type 2, les EP sont contre-indiqués si le diabète est ancien. La préférence va au DIU ainsi qu’aux microprogestatifs.
›Après un diabète gestationnel, toutes les méthodes sont possibles (3) (6)
Mise au point
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