L’exposition aux rayonnements à faible dose chez les individus ayant effectué les travaux d’urgence à la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi (mars-décembre 2011) a été étudiée durant dix ans. Entre 2012 et 2021, 392 participants d’une cohorte de 5 300 individus ont développé un diabète. Les rapports de risque étaient de 1,06, 1,47, 1,33 pour les doses de [5 - 9] mSv, [10 - 19] mSv, [20 - 49] mSv, respectivement, par rapport au groupe [0-4] mSv.
Après Fukushima
Par
Publié le 20/10/2023
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du médecin
Article précédent
Mody tardifs
Article suivant
Avantage iSGLT2
Une pluie de publications
Des doubles aux triples
Cardioprotection : la course au Graal
DT1, de l’origine à l’issue
Mody tardifs
Après Fukushima
Avantage iSGLT2
Hormonothérapie d’affirmation de genre, rien d’inquiétant sur le diabète à ce stade
Les SMS du congrès EASD 2023
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils