La résection transurétrale de la prostate, traitement de référence de l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), est efficace mais entraîne une éjaculation rétrograde dans deux tiers des cas. De nouvelles techniques sont développées afin d’assurer une balance entre l’efficacité fonctionnelle urinaire et la préservation de la vie sexuelle. C'est le cas du dispositif de radiofréquence prostatique de troisième génération, REZUM, réalisable en ambulatoire. Il est développé en France via un forfait innovation HAS. L’implant intraprostatique Urolift, recommandé au niveau européen depuis 2017, bénéficie désormais d’une inscription sur la liste des nouveaux actes. L’embolisation des artères prostatiques donne de bons résultats, toutefois inférieurs à ceux de la résection transurétrale classique, avec 15 % de réinterventions. L’évaluation se poursuit…
Session plénière « Essentiel de la journée du 18 novembre »
Article précédent
La vasectomie à visée contraceptive sort de l’ombre
Article suivant
Le chlordécone en cause dans le cancer de la prostate
Lithiase, l’urétéroscopie souple en 1re ligne
L'infectiologie au cœur des pratiques urologiques
Instantanés
La vasectomie à visée contraceptive sort de l’ombre
L'essor des techniques mini-invasives dans l'HBP
Le chlordécone en cause dans le cancer de la prostate
Des recommandations françaises dans la maladie de Lapeyronie
Laser et radiofréquence au banc d’essai
L’HAV non neurologique
Possibles effets délétères du cannabis
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils