« Ce qui a emporté la décision de voter contre la convention au sein du SML, ce sont les spécialistes de secteur I, abandonnés au bord de la route. C'est également l'iniquité tarifaire pénalisant à chaque fois le secteur II, qui ne pourra pas bénéficier du forfait patientèle par exemple. En somme, cette convention est marquée par la volonté affichée de ne valoriser que deux façons de travailler en médecine libérale : le secteur I – et en particulier le médecin traitant – et les chirurgiens obstétriciens qui ont obtenu l'OPTAM-CO. Tout le reste de la médecine libérale a été sacrifié pour ces deux catégories de praticiens. C'est pour cela qu'il y avait beaucoup de mécontents dans notre base syndicale. »
Dr Éric Henry, président du SML
Recherche médicale : les essais décentralisés bousculent l’organisation
Vers une intégration plus précoce des patients aux projets de recherche
Déterminés, cliniques et spécialistes promettent une grève « massive » début juin
JO 2024 : contestation à l'AP-HP sur les primes aux personnels et médecins