Des chercheurs des universités de Yale et de Case Western Reserve ont montré à l’aide de techniques de clonage génique que près de 60 % des bactéries en cause dans les inflammations du liquide amniotique responsables d’accouchement prématuré ne sont pas décelées par les cultures traditionnelles. Dans le groupe contrôle, l’analyse de 16 liquides amniotiques prélevés initialement pour un test de maturation pulmonaire ftale n’a pas retrouvé la présence de ces bactéries par la méthode génomique. Les auteurs soulignent que puisque la culture bactérienne n’est pas performante, il est nécessaire de développer de nouvelles techniques, comme la méthode par PCR amplifiant le gène bactérien 16SrRNA utilisée dans l’étude. Il semblerait que la pathogénicité de l’inflammation soit due au nombre d’espèces différentes plutôt qu’à une espèce en particulier.
Journal of Clinical Microbiology, Janvier 2009.
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils